L'ÉNERGIE N'EST-ELLE QU' ALIMENTAIRE CHEZ L'ANIMAL DE SPORT ?

(30/01/2024)


Conférence dans le cadre des Congrès scientifiques mondiaux TimeWorld : TimeWorld expose et anime la connaissance sous toutes ses formes, théorique, appliquée et prospective. TimeWorld propose un état de l'art sur une thématique majeure, avec une approche multiculturelle et interdisciplinaire. C'est l'opportunité de rencontres entre chercheurs, industriels, universitaires, artistes et grand public pour faire émerger des idées en science et construire de nouveaux projets.
https://timeworldevent.com/fr/
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Dominique Grandjean est Docteur vétérinaire, Docteur en nutrition et Habilité à la direction des recherches (HDR) ; il est également Professeur chef de service (Elevage et médecine du chien de sport et d’utilité) à l’Ecole nationale vétérinaire d’Alfort. Il y a développé la discipline médecine sportive canine et la physiothérapie-réhabilitation fonctionnelle. Il est membre fondateur du collège européen de médecine sportive et réhabilitation vétérinaires (ECVSMR). Passionné de chiens de traineau et de chiens de recherche, il est auteur de nombreux articles scientifiques et livres sur le chien de sport et d’utilité, ainsi que fondateur et président de la course « Lekkarod » créée en 2015 en Savoie. Ses thèmes de recherche ont concerné la physiologie et l’énergétique de l’effort physique chez le chien, la gestion du stress oxydatif induit et l’ensemble des domaines médicaux en lien avec la pratique sportive. Il était également jusqu’à 2022 vétérinaire en chef, colonel, chef du service vétérinaire de la Brigade de sapeurs pompiers de Paris, et référent « cynotechnie » pour la BSPP et la zone de défense et de sécurité de Paris. Il dirige le programme Nosaïs de chiens de détection biomédicale, dont les travaux sur la détection olfactive de la CoViD-19 ont fait référence à l’international.

Conférence : L’énergie n’est-elle qu’alimentaire chez l’animal de sport ?
Le 18 novembre 2023 au Cnam à Paris lors du congrès mondial TimeWorld Energie.

L’animal de sport, qu’il soit cheval, chien, chameau… ou autre… ne peut bien sûr réaliser l’effort physique attendu de lui que par la valorisation de sources énergétiques exogènes, qu’il trouve dans son alimentation. Ce faisant, tant les conséquences de cette valorisation énergétique, que les rendements de transformation d’une énergie chimique vers une énergie mécanique, sont également dépendants d’éléments intrinsèques non nutritionnels, voire de variables environnementales. A la question initiale il est donc possible de répondre « majoritairement, mais pas que » !


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